 | Bernardin de Saint-Pierre - 1797 - 564 pages
...montagnes de s'élever , et encore moins aux métaux qui en sont les parties les plus pesan^ tes , d'être placés à leurs sommets , où on les trouve ordinairement. Si on suppose que ces lois soient {'ultimatum du hasard , et qu'elles se soient tellement combinées qu'elles n'en forment plus qu'une... | |
 | Bernardin de Saint-Pierre - 1833 - 820 pages
...aux montagnes de s'élever, et encore moins aux métaux qui en sont les parlies les plus [lésantes d'être placés à leurs sommets, où on les trouve ordinairement. Si on suppose que ces lois soient \' ultimatum du hasard , et qu'elles se soient tellement combinées qu'elles n'en forment plus qu'une... | |
 | Jacques Henri Bernardin de Saint-Pierre - 1840 - 832 pages
...s'élever, cl encore moins aux raciaux, qui eu sont les parlies les plus pesantes, d'être placés a leurs sommets, où on les trouve ordinairement. Si...forment plus qu'une seule, par la même raison qu'elles fonl mouvoir la terre autour du soleil , et la lune autour de la lerre, elles devraienlagir de la même... | |
 | Jacques-Henri Bernardin de Saint-Pierre - 1842 - 482 pages
...force.d'attraction où la pesanteur n'eût pas ,. , < -nuis aux montagnes de s'élever, et encore moins 12 ETUDES aux métaux qui en sont les parties les plus pesantes,...trouve ordinairement. Si on suppose que ces lois soient V ultimatum du hasard , et qu'elles se soient tellement combinées, qu'elles n'eu forment plus qu'une... | |
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D'un autre côté, la force d'attraction ou la pesanteur n'eût pas permis aux montagnes de s'élever, et encore moins aux métaux qui en sont les parties les plus pesantes, d'être placés à leurs sommets, où on les trouve ordinairement. Si on suppose... 